Publié le
30 mars 2011 dans
Carnets.
Les habitués du café, des cigarettes, des havanes et du cuba libre connaissent bien Superwill… il est toujours là, dans mes carnets, et on pourra bientôt le retrouver sur la toile, à une adresse bien à lui (« bientôt » signifie dans le langage faracien « avant 2015″).
Là il est vénère, parce que le juke box est en panne ! (juke box tiré d’un de mes films préférés… lequel ? Lequel ?)
Petite page de réclame, pour rappeler que ces magnifiques ouvrages sont disponibles dans les débits de bouquins, ou sur les sites des éditions Petit à petit et Orphie… Existent également en langues étrangères, si tu habites aux Pays-Bas, en Espagne, ou dans les îles créoles (et toi, tu en as de la chance !)
Publié le
5 mars 2011 dans
BD.
Heuuuuu… J’en étais où ?…
Ha oui ! Je voulais vous montrer la suite de Marroca, mais même moi je me lasse du porno… Si si ! C’est un site tout public ici… Enfin je crois… Du coup, je vous invite à lire la fin de l’adaptation disponible dans le collectif des Contes grivois de Maupassant, paru chez Petit à petit (ou La Martinière BD… j’y comprends rien à leur rachat de boîtes d’édition).
Et comme je n’ai pas chômé l’année dernière pour mon cher Petit, voici le mini-récit que j’ai illustré dans les Contes et légendes de la mythologie grecque, sur un scénario de Stéphane Nappez. C’est sur le Minotaure, c’est rapide à lire (8 pages muettes), et il y a quand même un peu de sexe dedans (sacrés Grecs !)…
Le patron se souvient d’Annie Girardot qui, selon Audiard, buvait pas, fumait pas, draguait pas… mais qui causait !
« Où avez-vous appris à dire autant de conneries ?
- Deux ans de télé ! »
J’ai été à bonne école…
Délaissons un peu les jeux d’adultes, avec ces 2 images issues du monde l’enfance, proposées à Robert Laffont pour illustrer la couverture de Ce héros qui est en chacun de nous de Laureline Amanieux. Le visuel d’un de mes chers collègues a finalement été retenu, vous pourrez le découvrir dès juin 2011 dans tous les bons bacs.
Version fille
Version garçon
Enfant, le patron, qui séchait ses séances d’orthophonie, se défendait dans la cour de l’école : « Mon père, ze zéro, est fort comme 10 zommes ! Zi z’est vrai ! »
